Novembre et cætera

En ce mois de novembre …

• j’ai traversé le miroir de L’imaginarium du Dr Parnassus et je suis allée à contre courant des critiques presse – Du grand Terry Gilliam. On lui a reproché le peu de minutie dans les effets numériques, moi j’ai complétement adhérer aux partis pris esthétiques et je me suis perdue dans la scène vertigineuse – limite surréaliste- de la bouteille qui se brise en mille éclats et ouvre sur la scène de danse avec le diable.

• j’ai été déçue par le 2ème volet de Twilight qui ne présente pas beaucoup d’intérêt en regard du livre (où sont les émotions?) Je lui accorde néanmoins les effets techniques : scènes de combat et loups garous sont très bien réalisés !

• j’ai lamentablement snobé le dernier album d’Andrew Bird Noble Beast qui veillait tranquillement sur mon Ipod et je me suis réjouis de le découvrir piste après piste. Je n’ai pas pu aller le voir en concert à la Cigale à mon plus grand regret. Mais je me rattrape en l’écoutant en boucle – un album plus folk que The Mysterious Production of Eggs. Des cordes et des arrangements toujours aussi envoutants !

• je suis allée rire aux éclats devant le nouveau spectacle de Jérôme Commandeur se fait discret à la comédie de Paris – avec une mention spéciale pour son sketch Bibi le routier.

• et enfin, je suis rentrée sur les genoux du salon du livre de Montreuil. Très bon moment passé sur le stand des éditions l’Edune en compagnie de Carole Chaix, Régis Lejonc et Henri Meunier. Cerise sur le gâteau je suis rentrée avec un superbe champignon Bonaparte de Gilles Bachelet, un gorille made in Browne, un Martin des colibris tout en crayon de Judith Gueyfier et un cœur fléché d’Emmanuelle Houdart !